Les jeunes sont venus en nombre en ce week-end de l’Ascension. Ils étaient 11 (Shinano, Maxime P., Simon, Mathieu V., Lucas, Pierre, Axel, Maxime L., Matthieu C., Dimitri et Tanguy) pour 2 encadrants (Arnault et Philippe).

Au départ, le temps est incertain mais encore sec. Arnault décide de nous emmener sur un itinéraire inédit pour les jeunes, vers Crépières. Le début est très classique, nous rejoignons par les singles habituels le carrefour royal, puis, en longeant le mur de Saint Nom nous arrivons à Sainte Gemme. Pendant ce trajet, Lucas fait une petite chute qui aura quelques conséquences par la suite. Du côté des plus jeunes, on s’inquiète un peu car nous n’en sommes qu’au début et les quelques premières côtes sont déjà bien rudes.

Nous traversons la D30 et juste après, Pierre crève. Aidé de Shinano, il lui faut tout de même 2 chambres à air pour arriver à réparer. On repart et le long des vergers, suite à un freinage brutal, Philippe, à l’arrière du groupe, fait un soleil (qui passera inaperçu).  Nous rejoignons et traversons le bois des Flambertins pour redescendre vers Crespières. Le temps est plus que menaçant et nous n’échappons pas à une averse orageuse. Le groupe fait une pause rapide sur le petit pont de pierre dans la forêt et nous repartons vers Davron et Chavenay.

A la sortie de Chavenay, Lucas resté à l’arrière rencontre un problème avec son dérailleur avant, peut-être lié à sa chute. Le déluge s’abat alors sur le groupe. Pour Arnault et Maxime L. qui aident Lucas en rase campagne, aucun abris possible. Pour les autres, un maigre refuge est trouvé sous les branches d’un sapin en attendant les infortunés. Nous repartons toujours sous la pluie un peu moins soutenue, le long du Golf de Feucherolles  pour atteindre Sainte Gemme et l’étoile de bout du monde. De là, on choisit le retour le plus rapide par la route forestière jusqu’à Noisy le Roi, toujours sous une bonne pluie.

Finalement, tout le monde a bien suivi sur ce parcours de 36,8 km bouclé en 3h30 (480 m D+). Bravo à tous (d’autant que les conditions étaient difficiles sur la fin), en particulier les plus jeunes pour lesquels c’était un parcours long qu’ils ont fait avec volonté.